C'est le dernier Stephen King. Un des auteurs américains les plus populaire au monde, nous sort son 69ème roman, un an après "Duma Key".
Il aura finalement réussi à sortir cette histoire, qu'il avait commencé a traiter en 1983, sous le nom de "The Cannibals" (des gens se mangent pour survivre dans un immeuble, où ils sont prisonnier), qu'il avait abandonné deux fois.
Il aura finalement réussi à sortir cette histoire, qu'il avait commencé a traiter en 1983, sous le nom de "The Cannibals" (des gens se mangent pour survivre dans un immeuble, où ils sont prisonnier), qu'il avait abandonné deux fois.
Pour ce roman, King met le paquet avec environ 1500 pages, ce qui devient un de ses plus gros de sa carrière. Le travail de traduction est énorme, ce qui explique sa sortie française tardive (début 2011) par rapport à l'américaine (octobre 2009).
Voici l'histoire:
A la fin d’une superbe journée d’automne sur Chester Mill, dans le Maine, la ville est inexplicablement et soudainement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Les avions s’écrasent contre lui et les épaves tombent en flammes du ciel, unemain de jardinier est tranchée quand le dôme descend sur elle, les gens faisant les courses dans la ville voisine sont séparés de leurs familles, et des voitures explosent sous l’impact. Personne ne comprend ce qu’est cette barrière, d’où elle vient et quand -ou si elle partira.
Dale Barbara, vétéran de la guerre en Irak, est maintenant cuisinier de plats rapides, il se retrouve à faire équipe avec quelques citoyens intrépides – Julia Shumway la copropriétaire du journal local, l’assistant d’un médecin traitant à l’hôpital, une conseillère du maire et trois enfants courageux. Contre eux, Big Jim Rennie, un politicien que rien n’arrêtera – même pas le meurtre – pour garder les reines du pouvoir, et son fils, qui garde un terrible secret dans un sombre cagibi. Mais leur adversaire est le dôme lui-même. Parce nous n’avons pas beaucoup de temps. Le temps nous manque.
Bonne lecture
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